bonjour bonjour, les vides greniers ont commencé, moi et mon chéri on a trouvé de jolies choses, notamment 2 pouffes imitations cuir, que j'ai juste recousu pour 2 euros l'un et des livres, notamment un pearl buck que je n'avais pas :) , sinon a nouveau malade, je suis épuisé lol
bisous a tous et merci d'étre avec moi :)
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Une semaine après sa venue, elle
reçu la visite d’un journaliste. Surprise elle lui dit de s’assoir. Ce
personnage de petite taille, aux cheveux clairsemés, lui expliqua qu’il avait
été présent le jour de son accident. Alerté par la sirène du SAMU, il c’était
précipité pour voir ce qu’il se passait.
Il fit la rencontre de Victor, lui
posa quelque questions et appris l’évènement. Cette personne du nom de DIMER
Luc, prit rendez-vous avec l’enseignant pour le lendemain, il voulait en savoir
plus sur cet accident et comment il avait su que la jeune fille était tombée.
Luc était rédacteur dans un journal
local le C. il écrivait des articles sur les accidents et autres sujets graves.
« L’affaire Annabelle » comme il l’aimait l’appeler, l’intéressai.
Par l’intermédiaire de Victor, il
sut comment Annabelle avait réussi à joindre son professeur, et les démarches
qu’elle avait entrepris envers une compagnie de téléphone. Il voulu en savoir
plus sur la raison de cette démarche, et comment la jeune fille voulait s’y
prendre. Victor lui donna le numéro de chambre de la jeune fille.
Voilà pourquoi monsieur Dimer se
trouvait devant elle. Ayant eu une sœur muette il parlait couramment la LSF. Il
lui posa quelque question sur son accident, les sentiments qu’elle avait
ressentit, et sur son idée d’un moyen téléphonique ACCESSIBLE A TOUS.
Luc trouva se procédait
extraordinaire et tellement simple qu’il se demandait pourquoi personne n’y
avait pensé. Annabelle lui nomma les deux raisons du directeur que Victor avait
contacté : l’argent et leur handicape.
Le journaliste révoltait lui promis
que son article passerait en première page et qu’il ferait tout pour venir en
aide à la jeune fille.
Annabelle retrouva de sa vigueur et
de sa détermination. Remercia longuement le journaliste. Il lui promit de lui
emmenait un article dès la parution du journal. Notre jeune fille se sentit
revivre. Son handicape ne comptait plus, les enfants auront peut-être une
chance d’avoir un nouveau moyen de communication.
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Je rentrais chez
mois, et j’allai sur mon ordinateur portable pour rechercher l’article publier
par DIMER Luc. Je le trouvai après plusieurs recherche, cet homme avait été
propulsé sur les marches du succès il y a peu. Il était cité sur chaque article
parlant des personnes muettes.
Je découvris aussi
un reportage qui affichait en première page de son journal, l’affiche qui
trônait sur chaque mur de l’établissement où Annabelle vivait. Seulement tous
ces articles paraissaient dans des journaux locaux.
Cet article fit-il bouger les choses ?
Je vis plusieurs articles sur la toile qui en parlait mais aucuns journaux important.
Annabelle
m’expliqua que l’article parut assez rapidement. Après semaine Luc lui apporta
personnellement le journal.
Notre jeune
fille le lu immédiatement, impatiente de découvrir cette article qui changerait
peut-être l’avenir de ces jeunes.
Je vois que vous émettiez toujours une
hypothèse vous ne vouliez pas en être sûr ? Car j’ai vu que beaucoup de
journaux locaux montraient l’affiche ?
Annabelle ne
voulait pas trop se persuader de peur d’être déçue. Elle avait trop éprouvé de
déception pour qu’un autre survienne surtout qu’à cet instant l’avenir semblait
lui sourire.
L’article
mentionnait une chose qui toucha énormément Annabelle :
« Les
enfants muets sont des enfants comme les autres la communication doit être pour
tous qu’en pensez-vous ? »
Ce sujet faisait
en sorte que les gens devaient raisonner et apporter eux-mêmes leur propre
point de vue. De plus contrairement au précèdent article celui-là ne
mentionnait pas le terme « argent ».
Annabelle ne
voulait pas d’aide financière, seulement qu’une société réagisse et veuille faire
bouger les choses. Pour elle, une aide n’était qu’une chose futile que l’on
donnait pour certaines personnes. Annabelle voulait que tous profite de cette
communication. Bien sûr, elle savait que ce ne serait pas immédiat pour TOUS.
Pour que chaque personnes ayant cette handicape aient ce mode de communication,
il fallait l’expérimentait sur un groupe.
Ce fût la seule
chose dont elle était persuadé.
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Annabelle sortie
de l’hôpital après six mois de rééducation. Pendant ces longs mois Luc avait
reçu d’innombrable courrier de personnes qui soutenaient cette idée. Des
sociétés de téléphonie l’avaient même contactée mais aucune ne voulait
s’investir prétextant d’énormes soucis financiers.
Notre jeune
fille était confiante, de nombreux journalistes vinrent l’interviewé à
l’hôpital souvent accompagné d’interprète ou parfois Victor servait de second
pour notre jeune fille.
Elle avait enfin
réussie a accepté son handicape, il devenait pour elle comme une partie de son
idée. Annabelle était persuadée que sans cet accident, rien de tout cela ne
serait arrivé.
Car c’est
arrivé ! Le jour de sa sortie, les infirmiers ouvrirent la porte arrière
de l’ambulance, pendant qu’ils s’affairaient à faire de la place pour
qu’Annabelle puisse monter - car ils avaient eu une urgence et tous les
matériels de soin médicaux se trouvaient encore à l’intérieur.
La jeune fille
regardait alentour assise dans son fauteuil, quand une silhouette placée devant
l’ambulance et qui la fixait retint son intention. C’était un homme d’une
trentaine d’année, cheveux bruns court, bien coiffée, il portait un long
manteau qui provenait sans doute d’un grand magasin.il l’a regardé d’une façon
qu’Annabelle pensa qu’il la connaissait.
Il ne bougeait
pas, il restait plantait là accoudé au capo de l’ambulance, son allure ne
convenait pas aux vêtements qu’il portait. Agaçait par son regard insistant,
elle défit les freins et roula jusqu’à cet homme.
Arrivée à sa
hauteur, il continuait de la regarder, un sourire se dessinait sur son visage,
une chose offusquait plus que tout Annabelle, il portait de lunettes de soleil
noir sous un ciel gris, ridicule pensa t’elle.
Elle trouva ce
jeune fort homme mal polis, bien sûr son handicape n’était pas inscrit sur son
visage donc la moindre des choses aurait été un simple « bonjour » or
il ne la salua même pas, pas un mot, rien, il restait figé devant elle, le sourire
aux lèvres.
Annabelle
irritait pas se manque de courtoisie, se remit en route vers l’arrière de
l’ambulance, quand elle sentit qu’on la retenait. Le jeune homme avait ces deux
mains sur les poignées du fauteuil.
Il plaça
lui-même les freins, fit signe aux ambulanciers qui arrivaient pour faire
monter Annabelle, de patienter quelques instants. Ils en profitèrent pour
prendre leur pose. Ils laissèrent Annabelle seul aux mains de cet inconnu, la
colère monta, son regard si calme en temps normal devint agressif. Si elle
possédait encore la motricité de ces jambes, elle aurait bondit sur eux tous.
Qu’est ce que cet homme vous voulez ?
« Ce fût
très étrange me dit-elle. Plus je le regardais distinctement plus il me
rappelait quelqu’un ». Quand à lui il continua de regarder Annabelle dans
les yeux, la jeune fille soutint son regard, elle n’était en aucun cas gênée.
C’est lui le premier qui tourna la tête. Il se releva et lui présenta une
carte :
« Monsieur
DURANT Alex, directeur de la SGTM. »
A ce moment
m’expliqua notre jeune fille elle sue à qui elle avait à faire. Ce jeune homme
était celui qui avait répondu à Victor en lui disant que c’était « de la
pure ânerie » d’équiper des sourds et muets d’un appareil de communication
vocale. Cet homme était son fournisseur de téléphonie mobile.
SGTM ?
Société Général
de Téléphonie Mobile.
Ce monsieur
parlait couramment le LSF et expliqua à Annabelle que lorsque son ami avait appelé
il fut surpris et cela le rendit assez agressif. Il avait un cousin devenu
sourd après une trop longue exposition à une haute puissance de décibels. Il
savait le calvaire que son cousin avait eu quand il apprit que plus jamais il
ne pourrait entendre. Car dès ce moment ils ne communiquèrent plus. Alex avait
dû attendre des années pour oublier ce cousin qui malgré tout restait dans son
cœur.
Il avait appris
le LSF avec son cousin, seulement le parent d’Alex était tombé en déprime et
c’était renfermé sur lui-même.
Quand Victor lui
exposa son idée, il fut saisi de stupeur. Comment lui n’y avait-il pas
songé ? Lui qui travaillait dans ce secteur et en était le directeur. Si
son cousin avait en sa possession un appareil capable de lui ouvrir la voie de
la communication, pour sûr il retrouverait goût à la vie.
Mais Alex avait
son orgueil et il lui était difficile de remettre le mérite de cette trouvaille
à une autre personne que lui. Désormais il voulait aider Annabelle. Mettre son
projet à exécution.
Notre jeune
fille était stupéfaite par tout ce qu’elle venait apprendre. Seulement son
orgueil prit le dessus, elle ne comprenait pas qu’il est attendu son accident
pour venir la voir. Sur le moment elle s’imagina qu’il voulait se servir de son
image de fille handicapée pour faire fluctuer son commerce. Les gens voyant une
fille en fauteuil roulant, sourde et muette, recevant de la main du directeur
un moyen de faire communiquer tous les enfants atteins de cet handicape. Voilà
une image qui émouvrait le peuple qui prit par la gratitude de cet homme
d’affaire s’engagerait dans son service de téléphonie. Et Monsieur DURANT
gagnerait beaucoup d’argent sur leur dos.
Ce procédé
Annabelle n’en voulait pas.
Monsieur DURANT
du comprendre l’idée qu’elle c’était faite car il lui expliqua qu’il ne voulait
pas se servir de son image pour mettre en œuvre son dessein. Il lui proposa un
rendez-vous qu’elle accepta.
Ils attendirent
ensemble que les infirmiers reviennent pour la ramener au centre.