ayait les mariages sont terminés, ouff sa en faisait du stresse lol
voici la suite de mon roman
bisou et merci de votre fidélité
ps: oui vous pouvez l'imprimer mais pour votre usage perso seulement merci
14
Il était
19 heures, c’était l’heure du dîner. Nous arrêtâmes notre discussion. Elle me
proposa de dîner avec eux pour voir le déroulement du repas. J’acceptais.
Nous
sortîmes de la chambre et tournâmes sur la gauche en direction d’une porte à
deux battants.il est vrai que cette établissement était coloré, chaque lieu
avait une couleur différente, la gaieté réfléchissait. Dès que nous la
franchîmes, je fus stupéfaite. Une centaine d’enfants, tous assis sur un siège
individuel. Attendant patiemment qu’une lumière jaune, placée sur le bord droit
de chaque table de 12 places, s’illumine.
Dès
qu’elle brillait, tous les enfants se levèrent, se dirigeant vers la droite. Prenant
plateau, assiette, couverts, verre et choisissant ce q’ils désiraient sur la
tables où les aliments étaient placés.
Ceux qui
se trouvaient en fauteuils roulant étaient servit par leur camarade. Grâce à
leur console, que tous avaient, ils inscrivaient ce qu’ils désiraient et
l’élève lui apportait sans rechigner.
Tous se
trouvaient logé à la même enseigne. Même les éducateurs.
Lorsque nous prîmes place,
Annabelle me présenta. Je fis la connaissance de Victor- l’éducateur qui
avaient aidé Annabelle à son arrivée- mais je ne rencontrai pas le directeur.
Ce qui diffère des autres cantines,
à part que les élèves son attentionnés les uns aux autres que tous se servent
seul… c’est le silence. L’on ne perçoit même pas le son des claviers. Juste
celui des couverts s’entrechoquant, des glouglous des enfants qui se
désaltèrent, le mâchonnement de chaque bouché. Aucun bruit parasite à ce bon
repas. Le bonheur.
Chaque repas n’a pas de duré. Les
élèves mangent à leur rythme et peuvent quitter le self quand ils ont terminé.
La seule règle est que celui-ci commence à 19 heures.
Quand j’eus terminé, Annabelle me
demanda si l’on continuait l’interview. Seulement, le silence pour moi est très
pesant. Je pris congé. On prit un rendez vous pour le lendemain même heure.
15
Comment Florent
sortit de sa torpeur ?
Elle m’expliqua que Florent,
commença à retrouver de sa vigueur quand une jeune stagiaire Delphine arriva au
centre. Elle faisait des études d’infirmière et avait était pistonnait par le
directeur, ancien amie de sa mère.
Florent parla longuement de
Delphine à Annabelle, celle-ci se sentit de plus en plus mal, ressentant une
sorte de malaise, d’envi de pleurer, de le protéger. Elle n’avait pas éprouvé
de sentiment aussi profond depuis la mort de son grand-père. Ce sentiment
d’abandon. Pourtant Florent continuait de communiquait avec elle, mais
Annabelle sentit l’espacement de ses SMS qui se faisait de plus en plus long.
Notre jeune amie me dit se sentiment qu’elle avait eu, elle avait été abandonné
par son meilleur ami.
Au fil du temps leur relation s’estompa
et Annabelle se consacra beaucoup plus à son projet.
Le jour de son entrevu, elle se
souvint d’une pub qu’elle avait découvert dans un magasine : « discuter
sans salive : SMS ». De la salive Annabelle en avait mais pas le
moyen de l’user. Donc elle trouva se moyen fort intéressant, voir indispensable
à la communication entre les personnes invalides et celle qui ne l’était pas.
Quand elle discuta de son ^projet
avec le directeur, celui-ci lui expliqua, que l’investigation pour ce genre
d’appareils étaient trop couteux, et les parents ne pourront pas investir pour
les autres enfants. Il ne voulait pas que les orphelins soient une nouvelles
fois lésés.
Annabelle comprit et n’en parla
plus avec lui. Elle prit les choses en main et écrivit à son fournisseur de
téléphonie mobiles lui expliquant son cas, celui-ci ne du pas bien comprendre car
il lui répondit de l’appeler directement pour son problème.
Notre jeune femme se sentie seul
tout à coup, elle n’avait plus n‘y Florent n’y l’aide du directeur, aucune
aide, aucune personne ne voulait l’aider à révolutionner se problème de langage.
C’était bien joli d’avoir inventer
la LSF, mais à quoi servait-elle si seulement qu’un nombre restreint la comprenait ?
Pourquoi une fois de plus des
moyens de communications portables n’étaient pas à la porter de tous ?
Pourquoi inscrire en toute
lettre : ACCESSIBLE A TOUS, si ce n’est pas le cas ?
Annabelle était folle de rage quand
Victor survint. Il s’approcha de la jeune fille, lui demanda la raison de sa
colère. Elle n’arrivait pas à s’expliquer ses mots étaient confus et Victor ne
comprit rien, alors elle respira longuement et réussit à s’apaiser.
Elle lui parla de la discussion
avec le directeur, du message reçu par la compagnie du téléphone. Victor prit
le mobile de la jeune fille, se leva, composa le numéro et parla vigoureusement
et très rapidement pendant un long moment, il raccrocha furieux. Annabelle ne
comprit pas leur discussion mais su que la réponse ne lui plairait pas et ce
fût le cas.
Victor demanda à avoir le
responsable, qu’on lui passa après 5 minutes d’attentes. Quand le jeune homme
lui expliqua sa requête, celui-ci se mit à rire, Victor hors de lui, l’accusa
de publicité mensongère, d’homme sans compassion et ignoble, et lui insurgea
qu’il résignait son contrat(en l’occurrence celui d’Annabelle), le directeur
d’un ton affable lui répondit textuellement :
« Monsieur on fait un pub pour
de la communication, du verbe communiquer qui veut dire parler sortir des mots
du fond de sa gorge, pas une pub pour une communication sourde c’est de la pure
an… »
Avant qu’il ne finisse sa phrase il
raccrocha, retourna s’assoir auprès d’Annabelle et après quelques minutes lui
fit un résumé de la communication « avec des mots qui sortent de ma
gorge » dit-il narcissique.
Victor avait eu cette vocation à
l’âge de 5 ans quand son frère malentendant mourut, il avait fait une mauvaise
chute, le médecin légiste avait signalé à ses parents qu’il s’était réveillé et
avait du forcer sur sa gorge pour sortir un son car celle-ci était enflammé.
Victor résolut à cet instant qu’il s’occuperait de ces enfants et ferait tout
pour trouver une solution a se problème qui perdurait depuis des siècles et que
personnes ne cherchait à songer. Comme si dans le monde il fallait qu’il y ait
deux groupes de personnes, ceux avec handicapes et ceux qui n’en ont pas.
Victor ne demandait pas
l’infaisable mais une révolution pour aider ces personnes et que pour une fois
que se soit accessible point de vue financier.
Oui de nos jours, il existe les
forfaits a SMS illimités, mais combien de personnes peuvent s’acheter un
mobiles puis payer un forfait quand celui-ci n’a aucun revenu, aucune famille.
Oui les autres pourront en avoir mais il y aurait encore deux groupes :
les orphelins et les enfants qui ne le sont pas.
Cette solution Annabelle, Victor et
le directeur n’en voulait pas. Plus de discrimination, donc pas de solution.
La jeune fille fatiguée se réfugia
dans sa chambre, elle s’allongea sur son lit et c’est dans cette position de
lassitude qu’elle découvrit « la » solution.
Elle possédait de l’argent,
beaucoup d’argent. Ces grands parents avaient amassé un petit pécule qui depuis
ces 15 ans avait fluctué. Le seul problème qui se mit sur sa route était
qu’elle pouvait sortir cette argents mais pendant combien de temps ?
16
La situation n’a
pas changé il me semble ?
Annabelle m’expliqua que si, je ne
compris pas. J’étais journaliste et j’aurai été mise au courant d’une telle
révolution, les journaux en aurait parlé si une société de téléphonie mobile
accepté de donner des téléphones et des forfaits gratuitement à des
malentendants. Et pourquoi aurait-elle besoin de mon aide si le problème était
réglé ? Juste pour parler d’elle ? C’était absurde Annabelle n’était
pas ainsi je le sentais.
La jeune fille me dit de patienter.
La clarté de toutes questions se ferait en son temps.
Annabelle ne pouvait certes pas
subvenir financièrement à son projet sans revenu. Il fallait donc qu’elle
trouve une personne, un organisme susceptible de l’aider. Agé de vingt ans,
elle savait que sa requête ne serait pas prise au sérieux et ne pouvait
aboutir, même son tuteur lui rigola au nez quand elle lui requit son aide.
Seul Victor, plus âgé, pouvait lui
servir d’intermédiaire. Elle lui proposa son idée qui consistait à faire
parler d’eux dans la presse, les gens les soutiendront. Elle en était certaine
à ce moment. Comme vous l’imaginez très naïve.
Victor s’accomplit à sa tâche et
prit rendez vous avec le journal local. Celui-ci accepta de faire publier
l’article. Le lendemain le sujet paru, à la cinquième page, minuscules, ne
comportant que quelque ligne stipulant :
« Le centre d’accueille LSF en
proies a une nouvelle communication. Aidez-les à retrouver la liberté
d’expression en les aidants financièrement. »
Rien n’expliquait la raison de ce
financement, aucune ligne sur le désarroi des élèves qui ne pouvaient que
communiquer sur un rayon d’un kilomètre. Les enfants ne pouvaient même pas
parler avec leurs parents saufs quand ils venaient leur rendre visite, pour les
plus chanceux une fois par semaine.
Annabelle désespérait, cherchant
nuit et jour une solution. Son état emphatisait, maigrissant, des cernes entouraient
ses yeux d’un bleu claire et vide d’expression. Notre jeune fille se sentait
perdue. Se demandant souvent pourquoi elle se lançait dans ce mouvement ? Qu’est
ce qui l’avait poussé à agir ainsi, elle la jeune fille orpheline, si discrète
d’habitude ?
Annabelle le savait mais ne voulait
pas le croire, vu que son idée était un échec total.
Bonjour Ynomra, tu as une belle imagination !!
RépondreSupprimerLe soleil luit avec peu de degré, la pluie est prévue
pour ce soir. Une très belle journée pour toi,
bisous >² à demain