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mardi 15 mai 2012

roman: quand le silence prend la parole (partie 10)


bonsoir je m'empresse de vous donner la suite de mon roman, ces derniers ont été très difficile, urgence, panne de voiture et j'en passe :(
allez c'est pas grand chose, voici la suite et merci
bisous


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À son retour de l’hôpital, Victor l’attendait sur les marches du centre. Il attendit que les infirmiers ouvrent l’arrière de l’ambulance et monta lui-même pour faire descendre Annabelle du véhicule.
Les deux compères se souriaient l’un l’autre, notre jeune fille était heureuse de retrouver se centre qui était Sa famille. De plus elle avait hâte de raconter son entrevu avec monsieur DURANT à Victor.
Ils durent contourner les marches et passer par la passerelle réservée aux lits médicaux, poussettes et autres objets à roulettes. Il lui ouvra la porte d’entrée et la conduisit dans sa nouvelle chambre au premier étage.
On y accédait par l’ascenseur réservé seulement pour se genre de situation. Il l’emmena dans l’ancienne chambre de Florent, celle-ci étant plus large, vaste et équipée pour les personnes à mobilité réduite.
Sa lui pincée le cœur de retrouver cet endroit où son ami avait séjourné mais ainsi se dit-elle c’est comme s’il ne me quittait pas.
Victor la laissa s’installer. Se retrouver dans cette pièce la fit devenir nostalgique. Elle se rappela sa première rencontre avec Florent. L’apprentissage d’un nouveau langage, l’utilisation des claviers au sein de l’école et la communication avec les élèves des écoles alentours. Le départ de Florent dans ce centre hospitalier et son idée qui germa à cet instant. La nouvelle de sa mise sous tutelle et de l’argent qu’elle avait en sa possession mais dont elle ne savait que faire.
Annabelle se demanda si finalement se n’étais pas à elle de financer cette idée seulement il lui faudrait une rémunération pour que l’argent puisse rentrer. Toujours cette question d’argent ! Se soucis permanent se mettaient en travers de son idée. Annabelle se sentait désarmais quand elle ressassé se problème. Elle résolu néanmoins d’attendre le rendez-vous avec le directeur de la SGTM pour savoir ce qu’il proposait. Si et seulement si son concept demandait une aide financière pour se lancer, elle parlerait de se qu’elle possédait.
Annabelle m’expliqua qu’elle avait besoin de son capital pour un tout autre projet.
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De quel projet s’agissait-il ?
« Savé vs k vs avé dja rencntr l directeur ?[1]
-       Quand, répondis-je stupéfaite.
-       C pk le new directeur c mwa ![2]
Annabelle m’expliqua que depuis un temps le directeur du centre se sentait fatigué, parlait souvent de son envi d’arrêter de « passer la main » comme il disait.
La jeune fille le savait et dès que Victor lui parla de la retraite de celui-ci lors de son hospitalisation, elle prit peur. Où irait-elle ? Que deviendrait le centre ? Pour elle il était impensable qu’une autre personne gère le centre.
Elle exposa son envi à Victor de prendre la relève, elle possédait les moyens. Celui-ci ne fit pas étonné au contraire et lui promis de l’aider dans sa démarche.
Démarche qui fut vite mise en œuvre. Le directeur ne fut point surpris, Annabelle et lui en avait longuement parlés. De plus la jeune fille vivait dans l’établissement depuis fort longtemps et s’était toujours investit dans le bon fonctionnement de celui-ci.
Les formalités furent dispensées à Annabelle, c’est le directeur qui se chargea de tous les papiers et avec son tuteur.
Les autres membres du personnel furent satisfaits de cette démarche ?
Tous avaient une part dans ce centre et qu’Annabelle reprennent le flambeau les arrangeaient. Le centre était comme une famille chacun s’y sentant libre. Quand ils apprirent la retraite du directeur, la peur de se retrouver confronté à un responsable sévère ou intéressé que par l’argent les épouvanta. Seulement personne n’avait les moyens financiers pour investir dans cet établissement.
A la nouvelle du nouveau dirigeant, chaque membre du personnel fut satisfait, l’ambiance resterait la même.
Annabelle m’expliqua qu’elle leur avait souscrit une condition. Tout devait rester comme avant, que si une chose n’allait pas c’est à elle (comme avant au directeur) que l’on devrait s’adresser. Ne pas la considérer comme une élève mais comme une partie majeure du centre. Elle avait eu peur que s’ils apprenaient que se s’était-elle, une enfant du centre, des libertés surviennent et que le désordre s’installe.
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Annabelle a son arrivé convoqua tous le personnels pour faire le point sur toutes les nouvelles dispositions et arrivées qui avaient eu.
Les formalités faites, elle resta seul avec Victor, elle lui raconta son entrevue avec le directeur de la SGTM. L’enseignant fut surpris car après la discussion qu’ils avaient eue il pensait ne plus en entendre parler.
La jeune fille lui demanda d’être son directeur adjoint. Elle avait une totale confiance en lui, il avait toujours était là, il l’avait soutenu dans son projet. Seul lui pouvait continuer à l’aider dans cette démarche. Victor ne réfléchit pas longtemps, accepta la proposition immédiatement. Ils convinrent tous les deux d’aller ensemble au rendez-vous de monsieur DURANT.
L’heure était très tard je dis au revoir à Annabelle. Je revins le lendemain matin très tôt sentant que j’allai bientôt commencer la rédaction de la vie d’Annabelle.
Comment se passa votre entrevue ?
Ce jour là il pleuvait des trombes d’eau, ces roues de fauteuil glissaient, Annabelle n’arrivait pas bien à le diriger. Victor s’y essaya mais le résultat restait idem, la jeune fille décida ce jour de s’équiper de roues adaptées.
Annabelle m’expliqua qu’à l’hôpital ne sortant jamais ces roues étaient adaptées pour l’intérieur et il ne lui en avait pas fournit d’autres.
Ne pouvant se servir du fauteuil et étant en retard, Victor prit une décision radicale. Annabelle est une jeune fille svelte, pas très lourde, il conclut qu’il la porterait. Celle-ci étant à l’ordinaire très fière, ne désirait strictement aucune aide sur ce plan, ne renâcla pas sur sa proposition. Elle ne voulait pas rater son rendez-vous et faire attendre ce directeur qui était revenu sur sa décision.
Il l’a prit dans ces bras, et se dirigea vers l’ascenseur où elle appuya elle-même sur le bouton. Celui-ci n’étant utilisait que par elle, les portes s’ouvrirent immédiatement. En arrivant au rez-de-chaussée, ils s’avancèrent en direction de la porte d’entrée quand il réalisa que sa voiture était garée assez loin.
Ils décidèrent tous deux qu’Annabelle resterait dans la salle d’attente, réservée aux parents, pendant qu’il avancerait le véhicule.
Elle m’expliqua que pendant se temps elle se mit à réfléchir et une angoisse la saisie. Si jamais son projet n’aboutirait pas continuerait-elle de se battre ?
Énormément de question dans se style émergèrent dans son esprit. Elle continuait de se remettre en question quand Victor s’approcha. La voyant dans cet état d’angoisse, qu’elle avait que très rarement, il se posa vers elle et la réconforta. L’enseignant voulait qu’elle se ressaisisse car cette jeune fille est une battante, déterminée, il savait qu’elle irait jusqu’au bout de son projet.
Annabelle regarda les signes émit par son ami, il aurait pu se servir de son boitier électronique mais celui-ci était rangé dans sa sacoche avec celui d’Annabelle. Elle reprit confiance et effaça ses questions sans importance. Elle réussirait coute que coute !
L’enseignant la prit dans ces bras ouvrit la porte d’un coup de genou, Annabelle la poussant de son bras droit et ils coururent vers la voiture, où il avait prit soin de laisser la portière droite ouverte.
Installée sur le siège avant trempé par la pluie, victor fit le tour et démarra aussitôt le véhicule.
Après une heure de route, les deux compères arrivèrent au lieu du rendez-vous. Monsieur DURANT les accueillir à l’entrée de son entreprise un parapluie à la main. Annabelle lut sa surprise quand il vit Victor avec notre jeune fille dans les bras, mais elle n’expliqua pas la raison et fit un signe de salutation à cet homme.
Le bureau d’Alex situé au dernière étage de l’établissement était vaste, il comportait un bureau immense, avec ordinateur, téléphone, dossiers… sur la droite derrière un mur de séparation se trouvait un petit salon où des fauteuils aux dossiers épais et confortables été posés en rond autour d’une table basse.
Victor installa Annabelle sur l’un deux et prit place sur celui à côté, le directeur se plaçant en face de notre jeune fille. Elle remarqua un dossier en double exemplaire mis sur la table avec un stylo.
Victor ouvrit son sac et sortit les deux boités électroniques. Il donna le sien à Annabelle et celui qui lui appartenait au directeur surprit par ce gadget, qui demanda expressément à l’enseignant à quoi il servait et son mode de fonctionnement.
Victor après lui avoir montré toutes les fonctions de l’appareil se rassit et la discussion commença.
Le directeur commença à parler à Annabelle par signe quand la jeune fille lui demanda de se servir du clavier. Elle lui expliqua qu’ainsi il comprendrait pourquoi son désir que chaque personne muette soit équipée de téléphone pour discuter lui soit important. Pour elle le boité fut l’origine de son idée, puis la jeune fille lui dit que s’il n’avait pas apprit la langue des signe comme la majorité des gens il ne pourrait communiquer aussi simplement avec elle.
Alex acquiesça et se servit du clavier pour lui poser les premières questions d’usage : comme comment allez vous ? Etc.
Le directeur après les formalités lui donna un exemplaire du dossier posait sur la table basse, Victor se rapprocha d’Annabelle pour le feuilleter avec elle. Ce dossier renfermait la maquette d’une affiche qui disait :
SMS : nouveau langage.
Ce porte document contenait très peu de feuilles, la maquette et trois autres feuilles blanches.


[1] Savez-vous que vous avez déjà rencontré le directeur ?

[2] C’est parce que le nouveau directeur c’est moi !

10 commentaires:

  1. Coucou passe une bonne soirée tout est ok bisous ^^

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  2. merci du partage
    je te souhaite une bonne fin de journée



    gros bisous



    .•°•.Ś Ő Ń Ŷ Á.•°•.

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  3. bonne soirée, Ynomra
    c'est très interessant à lire

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  4. hello

    je te souhaite un bon mercredi
    ça va bien et toi?

    @ demain

    bises**

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  5. Hier fut une belle journée ensoleillée, mais avec un vent très frais..!
    bonne journée

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  6. merci de nous faire partager tes beaux textes .... c'est toujours un plaisir de te lire .... quand au silence parfois il fait + de bruit que la parole!
    Passe une douce journée ici soleil revenu après a journée d'orages d'hier
    bisous

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  7. Coucou Armony,
    Un plaisir de lire la suite.
    Bon mercredi et à bientôt
    Bisous

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  8. Coucou Ynomra, bravo belle amie !
    « Des rouges queues, ces petits volatiles qui squattent ma boite a nids » maxi bisous> à demain

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  9. bonjour je passe te faire un petit coucou bi$oux

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  10. hello! un bien beau et bon roman!je te suis a très bientot!bises

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