Bonjour
Merci aux Editions Librinova de m'avoir permise de découvrir ce roman, premier tome d'une bonne série.
Résumé:
3 juillet 2076, soir de l’Événement. Alors que plus d’un milliard d’individus virtualisés, les virtels, assistent à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, un dysfonctionnement majeur survient, les empêchant de se débrancher de leur projecteur.
Piégés dans ce monde irréel qu’ils nomment Edenya, les virtels ne tardent pas à s’affronter : ceux qui veulent rentrer s’opposent à ceux voulant rester. L’un des leaders, Elias, aurait même mis au point un plan bloquant tout le monde à Edenya. Pour l’empêcher de le mettre à exécution, Quentin se lance dans une véritable course contre la montre tandis que dans le monde réel, sa femme Léonie mène une chasse à l’homme pour retrouver Sergei Ismanov, le créateur du projecteur virtuel, introuvable depuis le soir de la catastrophe…
Mon avis personnel:
Un premier tome
prenant et captivant. Une histoire de science fiction, qui pourrait nous amener
au réel.
Le concept
d'assister à un évènement en virtuel pour éviter un éventuel attentat et rester
bloqué à l'intérieur du système, voilà ce que nos personnages principaux
vivent.
On suit Quentin,
Leonie, Rachel, et Lisa et Annabelle, et Elias. Un peu compliqué d'avoir
plusieurs personnages principaux, mais ça permet de voir l'histoire sous
différents angles.
On a donc ceux qui
sont bloqués de puis 10 ans, mais pensent 1 an max, et Léonie, la copine de
Quentin qui elle cherche à tout prix à le sauver,
On découvre dans ce
livre, une vérité sur l'utilisation du virtuel. Comme quoi on y est pas
préparé. Souvent des nouveautés sont lancés mais sans aucun recul et comme le
Titanic, tous les soucis ne sont pas soulevés au lancement du produit. Car le
profit en premier, l'humain au dernier plan. Voici notre monde.
Dans ce roman ce qui
est dingue, c'est que les Virtuels vont recréer ce procédé du moi d'abord. Ils
recomment avec Edenya et nous fond le coup de la pomme. Au lieu de reprendre un
paradis: des dissensions, des castes, encore et toujours le même procéder. Même
dans un univers virtuel, l'homme reste l'homme: égoïste.
Ils fond miroiter un
concept de vie éternel, mais pas au dépend des riches ou des pauvres, car dans
cette réalités entre guillemet, ce sont au dépend des moins intelligents, en se
servant de leur vitalité comme moteur.
Un bon roman bien
conçu, je ne m'attendais pas à la tournure des choses, et encore moins du fait
que se soit un tome 1. Hâte de découvrir la suite.
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