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lundi 7 mai 2012

roman: quand le silence prend la parole (partie 9)


bonjour bonjour, les vides greniers ont commencé, moi et mon chéri on a trouvé de jolies choses, notamment 2 pouffes imitations cuir, que j'ai juste recousu pour 2 euros l'un et des livres, notamment un pearl buck que je n'avais pas :) , sinon a nouveau malade, je suis épuisé lol
bisous a tous et merci d'étre avec moi :)

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Une semaine après sa venue, elle reçu la visite d’un journaliste. Surprise elle lui dit de s’assoir. Ce personnage de petite taille, aux cheveux clairsemés, lui expliqua qu’il avait été présent le jour de son accident. Alerté par la sirène du SAMU, il c’était précipité pour voir ce qu’il se passait.
Il fit la rencontre de Victor, lui posa quelque questions et appris l’évènement. Cette personne du nom de DIMER Luc, prit rendez-vous avec l’enseignant pour le lendemain, il voulait en savoir plus sur cet accident et comment il avait su que la jeune fille était tombée.
Luc était rédacteur dans un journal local le C. il écrivait des articles sur les accidents et autres sujets graves. « L’affaire Annabelle » comme il l’aimait l’appeler, l’intéressai.
Par l’intermédiaire de Victor, il sut comment Annabelle avait réussi à joindre son professeur, et les démarches qu’elle avait entrepris envers une compagnie de téléphone. Il voulu en savoir plus sur la raison de cette démarche, et comment la jeune fille voulait s’y prendre. Victor lui donna le numéro de chambre de la jeune fille.
Voilà pourquoi monsieur Dimer se trouvait devant elle. Ayant eu une sœur muette il parlait couramment la LSF. Il lui posa quelque question sur son accident, les sentiments qu’elle avait ressentit, et sur son idée d’un moyen téléphonique ACCESSIBLE A TOUS.
Luc trouva se procédait extraordinaire et tellement simple qu’il se demandait pourquoi personne n’y avait pensé. Annabelle lui nomma les deux raisons du directeur que Victor avait contacté : l’argent et leur handicape.
Le journaliste révoltait lui promis que son article passerait en première page et qu’il ferait tout pour venir en aide à la jeune fille.
Annabelle retrouva de sa vigueur et de sa détermination. Remercia longuement le journaliste. Il lui promit de lui emmenait un article dès la parution du journal. Notre jeune fille se sentit revivre. Son handicape ne comptait plus, les enfants auront peut-être une chance d’avoir un nouveau moyen de communication.
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Je rentrais chez mois, et j’allai sur mon ordinateur portable pour rechercher l’article publier par DIMER Luc. Je le trouvai après plusieurs recherche, cet homme avait été propulsé sur les marches du succès il y a peu. Il était cité sur chaque article parlant des personnes muettes.
Je découvris aussi un reportage qui affichait en première page de son journal, l’affiche qui trônait sur chaque mur de l’établissement où Annabelle vivait. Seulement tous ces articles paraissaient dans des journaux locaux.
Cet article fit-il bouger les choses ? Je vis plusieurs articles sur la toile qui en parlait mais aucuns journaux important.
Annabelle m’expliqua que l’article parut assez rapidement. Après semaine Luc lui apporta personnellement le journal.
Notre jeune fille le lu immédiatement, impatiente de découvrir cette article qui changerait peut-être l’avenir de ces jeunes.
Je vois que vous émettiez toujours une hypothèse vous ne vouliez pas en être sûr ? Car j’ai vu que beaucoup de journaux locaux montraient l’affiche ?
Annabelle ne voulait pas trop se persuader de peur d’être déçue. Elle avait trop éprouvé de déception pour qu’un autre survienne surtout qu’à cet instant l’avenir semblait lui sourire.
L’article mentionnait une chose qui toucha énormément Annabelle :
« Les enfants muets sont des enfants comme les autres la communication doit être pour tous qu’en pensez-vous ? »
Ce sujet faisait en sorte que les gens devaient raisonner et apporter eux-mêmes leur propre point de vue. De plus contrairement au précèdent article celui-là ne mentionnait pas le terme « argent ».
Annabelle ne voulait pas d’aide financière, seulement qu’une société réagisse et veuille faire bouger les choses. Pour elle, une aide n’était qu’une chose futile que l’on donnait pour certaines personnes. Annabelle voulait que tous profite de cette communication. Bien sûr, elle savait que ce ne serait pas immédiat pour TOUS. Pour que chaque personnes ayant cette handicape aient ce mode de communication, il fallait l’expérimentait sur un groupe.
Ce fût la seule chose dont elle était persuadé.
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Annabelle sortie de l’hôpital après six mois de rééducation. Pendant ces longs mois Luc avait reçu d’innombrable courrier de personnes qui soutenaient cette idée. Des sociétés de téléphonie l’avaient même contactée mais aucune ne voulait s’investir prétextant d’énormes soucis financiers.
Notre jeune fille était confiante, de nombreux journalistes vinrent l’interviewé à l’hôpital souvent accompagné d’interprète ou parfois Victor servait de second pour notre jeune fille.
Elle avait enfin réussie a accepté son handicape, il devenait pour elle comme une partie de son idée. Annabelle était persuadée que sans cet accident, rien de tout cela ne serait arrivé.
Car c’est arrivé ! Le jour de sa sortie, les infirmiers ouvrirent la porte arrière de l’ambulance, pendant qu’ils s’affairaient à faire de la place pour qu’Annabelle puisse monter - car ils avaient eu une urgence et tous les matériels de soin médicaux se trouvaient encore à l’intérieur.
La jeune fille regardait alentour assise dans son fauteuil, quand une silhouette placée devant l’ambulance et qui la fixait retint son intention. C’était un homme d’une trentaine d’année, cheveux bruns court, bien coiffée, il portait un long manteau qui provenait sans doute d’un grand magasin.il l’a regardé d’une façon qu’Annabelle pensa qu’il la connaissait.
Il ne bougeait pas, il restait plantait là accoudé au capo de l’ambulance, son allure ne convenait pas aux vêtements qu’il portait. Agaçait par son regard insistant, elle défit les freins et roula jusqu’à cet homme.
Arrivée à sa hauteur, il continuait de la regarder, un sourire se dessinait sur son visage, une chose offusquait plus que tout Annabelle, il portait de lunettes de soleil noir sous un ciel gris, ridicule pensa t’elle.
Elle trouva ce jeune fort homme mal polis, bien sûr son handicape n’était pas inscrit sur son visage donc la moindre des choses aurait été un simple « bonjour » or il ne la salua même pas, pas un mot, rien, il restait figé devant elle, le sourire aux lèvres.
Annabelle irritait pas se manque de courtoisie, se remit en route vers l’arrière de l’ambulance, quand elle sentit qu’on la retenait. Le jeune homme avait ces deux mains sur les poignées du fauteuil.
Il plaça lui-même les freins, fit signe aux ambulanciers qui arrivaient pour faire monter Annabelle, de patienter quelques instants. Ils en profitèrent pour prendre leur pose. Ils laissèrent Annabelle seul aux mains de cet inconnu, la colère monta, son regard si calme en temps normal devint agressif. Si elle possédait encore la motricité de ces jambes, elle aurait bondit sur eux tous.
Qu’est ce que cet homme vous voulez ?
« Ce fût très étrange me dit-elle. Plus je le regardais distinctement plus il me rappelait quelqu’un ». Quand à lui il continua de regarder Annabelle dans les yeux, la jeune fille soutint son regard, elle n’était en aucun cas gênée. C’est lui le premier qui tourna la tête. Il se releva et lui présenta une carte :
« Monsieur DURANT Alex, directeur de la SGTM. »
A ce moment m’expliqua notre jeune fille elle sue à qui elle avait à faire. Ce jeune homme était celui qui avait répondu à Victor en lui disant que c’était « de la pure ânerie » d’équiper des sourds et muets d’un appareil de communication vocale. Cet homme était son fournisseur de téléphonie mobile.
SGTM ?
Société Général de Téléphonie Mobile.
Ce monsieur parlait couramment le LSF et expliqua à Annabelle que lorsque son ami avait appelé il fut surpris et cela le rendit assez agressif. Il avait un cousin devenu sourd après une trop longue exposition à une haute puissance de décibels. Il savait le calvaire que son cousin avait eu quand il apprit que plus jamais il ne pourrait entendre. Car dès ce moment ils ne communiquèrent plus. Alex avait dû attendre des années pour oublier ce cousin qui malgré tout restait dans son cœur.
Il avait appris le LSF avec son cousin, seulement le parent d’Alex était tombé en déprime et c’était renfermé sur lui-même.
Quand Victor lui exposa son idée, il fut saisi de stupeur. Comment lui n’y avait-il pas songé ? Lui qui travaillait dans ce secteur et en était le directeur. Si son cousin avait en sa possession un appareil capable de lui ouvrir la voie de la communication, pour sûr il retrouverait goût à la vie.
Mais Alex avait son orgueil et il lui était difficile de remettre le mérite de cette trouvaille à une autre personne que lui. Désormais il voulait aider Annabelle. Mettre son projet à exécution.
Notre jeune fille était stupéfaite par tout ce qu’elle venait apprendre. Seulement son orgueil prit le dessus, elle ne comprenait pas qu’il est attendu son accident pour venir la voir. Sur le moment elle s’imagina qu’il voulait se servir de son image de fille handicapée pour faire fluctuer son commerce. Les gens voyant une fille en fauteuil roulant, sourde et muette, recevant de la main du directeur un moyen de faire communiquer tous les enfants atteins de cet handicape. Voilà une image qui émouvrait le peuple qui prit par la gratitude de cet homme d’affaire s’engagerait dans son service de téléphonie. Et Monsieur DURANT gagnerait beaucoup d’argent sur leur dos.
Ce procédé Annabelle n’en voulait pas.
Monsieur DURANT du comprendre l’idée qu’elle c’était faite car il lui expliqua qu’il ne voulait pas se servir de son image pour mettre en œuvre son dessein. Il lui proposa un rendez-vous qu’elle accepta.
Ils attendirent ensemble que les infirmiers reviennent pour la ramener au centre.

19 commentaires:

  1. Bonjour Ynomra

    Ma fille est toujours à l’hôpital...

    Bisous$janelyse

    :)

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  2. coucou, j'espère que tu as bien passé le week-end? Je te souhaite une agréable semaine, gros bisous.

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  3. bonjour je te découvre grâce au blog de Janalyse
    j'ai une fille handicapée mentale opérée plus de 8 fois et ayant des malformations et séquelles

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  4. Passe une bonne soirée tout est ok bisous ^^

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  5. Allez un jour de repos demain, en espérant qu'il fera beau, peut-être un barbecue?

    La gazelle noire est avec nous pour 15 jours

    Une grosse bise étoilée

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  6. Bonsoir Armonyann

    bonne semaine

    bises

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  7. Hello Ynomra, merci pour ce chapitre ! le soleil luit et les nuages ne sont pas encore en force
    mais ils sont prévus assez rapidement. > bisous

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  8. Coucou, je te souhaite une très belle journée, bisous.

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  9. Bonjour ... ce matin toujours la méme météo :(( ...ça commence a me lasser ....

    alors je vais essayer d'être positive, un brin d'espoir dans ce monde qui dérive

    gros bisous .....


    Hymne au soleil

    Roi du monde et du jour, guerrier aux cheveux d'or,
    Quelle main, te couvrant d'une armure enflammée,
    Abandonna l'espace à ton rapide essor,
    Et traça dans l'azur ta route accoutumée ?
    Nul astre à tes côtés ne lève un front rival ;
    Les filles de la nuit à ton éclat pâlissent ;
    La lune devant toi fuit d'un pas inégal,
    Et ses rayons douteux dans les flots s'engloutissent.
    Sous les coups réunis de l'âge et des autans
    Tombe du haut sapin la tête échevelée ;
    Le mont même, le mont, assailli par le temps,
    Du poids de ses débris écrase la vallée ;
    Mais les siècles jaloux épargnent ta beauté :
    Un printemps éternel embellit ta jeunesse,
    Tu t'empares des cieux en monarque indompté,
    Et les voeux de l'amour t'accompagnent sans cesse.
    Quand la tempête éclate et rugit dans les airs,
    Quand les vents font rouler, au milieu des éclairs,
    Le char retentissant qui porte le tonnerre,
    Tu parais, tu souris, et consoles la terre.
    Hélas ! depuis longtemps tes rayons glorieux
    Ne viennent plus frapper ma débile paupière !
    Je ne te verrai plus, soit que, dans ta carrière,
    Tu verses sur la plaine un océan de feux,
    Soit que, vers l'occident, le cortège des ombres
    Accompagne tes pas, ou que les vagues sombres
    T'enferment dans le sein d'une humide prison !
    Mais, peut-être, ô soleil, tu n'as qu'une saison ;
    Peut-être, succombant sous le fardeau des âges,
    Un jour tu subiras notre commun destin ;
    Tu seras insensible à la voix du matin,
    Et tu t'endormiras au milieu des nuages.

    Pierre Baour-Lormian, tiré de Poésies d'Ossian (1827)

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  10. coucou
    peux tu mettre un lien direct vers ce blog lorsque tu mets un com plutôt que l'ancien c'est très long de charger l'un puis l'autre
    merci

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  11. Un petit coucou en ce 8 mai, avec un temps mitigé, mais cela ne nous pas empêché d'aller faire une balade avec miss toutoune et la gazelle noire.
    Bise étoilée
    ps: bien respecter 24h entre les passages du jour sinon rien n'est comptabilisé.

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  12. J'espère que tu vas bien et que ta semaine se passe bien !

    Bisous

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  13. "« Les enfants muets sont des enfants comme les autres..."

    Si on généralise avec d'autres handicaps, si évidement ces enfants sont comme les autres et bien heureusement, on a parfois une appréhension qui fait que l'on est parfois maladroit. Mais il y a aussi ceux qui profitent de cet handicap de différentes façons...

    Bisous et désolé si je suis venu plus tard mais je voulais prendre le temps de te lire.

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  14. Je te souhaite une douce soirée Armonyann et je t'envoie plein de bisous

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  15. bonjour aujourd'hui temps couvert comme d'habitude bi$oux

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