bonsoir je m'empresse de vous donner la suite de mon roman, ces derniers ont été très difficile, urgence, panne de voiture et j'en passe :(
allez c'est pas grand chose, voici la suite et merci
bisous
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À son retour de
l’hôpital, Victor l’attendait sur les marches du centre. Il attendit que les
infirmiers ouvrent l’arrière de l’ambulance et monta lui-même pour faire
descendre Annabelle du véhicule.
Les deux
compères se souriaient l’un l’autre, notre jeune fille était heureuse de
retrouver se centre qui était Sa famille. De plus elle avait hâte de raconter
son entrevu avec monsieur DURANT à Victor.
Ils durent
contourner les marches et passer par la passerelle réservée aux lits médicaux,
poussettes et autres objets à roulettes. Il lui ouvra la porte d’entrée et la
conduisit dans sa nouvelle chambre au premier étage.
On y accédait
par l’ascenseur réservé seulement pour se genre de situation. Il l’emmena dans
l’ancienne chambre de Florent, celle-ci étant plus large, vaste et équipée pour
les personnes à mobilité réduite.
Sa lui pincée le
cœur de retrouver cet endroit où son ami avait séjourné mais ainsi se dit-elle
c’est comme s’il ne me quittait pas.
Victor la laissa
s’installer. Se retrouver dans cette pièce la fit devenir nostalgique. Elle se
rappela sa première rencontre avec Florent. L’apprentissage d’un nouveau langage,
l’utilisation des claviers au sein de l’école et la communication avec les
élèves des écoles alentours. Le départ de Florent dans ce centre hospitalier et
son idée qui germa à cet instant. La nouvelle de sa mise sous tutelle et de
l’argent qu’elle avait en sa possession mais dont elle ne savait que faire.
Annabelle se
demanda si finalement se n’étais pas à elle de financer cette idée seulement il
lui faudrait une rémunération pour que l’argent puisse rentrer. Toujours cette
question d’argent ! Se soucis permanent se mettaient en travers de son
idée. Annabelle se sentait désarmais quand elle ressassé se problème. Elle
résolu néanmoins d’attendre le rendez-vous avec le directeur de la SGTM pour
savoir ce qu’il proposait. Si et seulement si son concept demandait une aide financière
pour se lancer, elle parlerait de se qu’elle possédait.
Annabelle
m’expliqua qu’elle avait besoin de son capital pour un tout autre projet.
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De quel projet s’agissait-il ?
« Savé vs k
vs avé dja rencntr l directeur ?[1]
- Quand,
répondis-je stupéfaite.
- C
pk le new directeur c mwa ![2]
Annabelle m’expliqua que depuis un temps le directeur du centre se
sentait fatigué, parlait souvent de son envi d’arrêter de « passer la
main » comme il disait.
La jeune fille le savait et dès que Victor lui parla de la retraite de
celui-ci lors de son hospitalisation, elle prit peur. Où irait-elle ? Que
deviendrait le centre ? Pour elle il était impensable qu’une autre
personne gère le centre.
Elle exposa son envi à Victor de prendre la relève, elle possédait les
moyens. Celui-ci ne fit pas étonné au contraire et lui promis de l’aider dans
sa démarche.
Démarche qui fut vite mise en œuvre. Le directeur ne fut point surpris,
Annabelle et lui en avait longuement parlés. De plus la jeune fille vivait dans
l’établissement depuis fort longtemps et s’était toujours investit dans le bon
fonctionnement de celui-ci.
Les formalités furent dispensées à Annabelle, c’est le directeur qui se
chargea de tous les papiers et avec son tuteur.
Les autres membres du personnel furent
satisfaits de cette démarche ?
Tous avaient une part dans ce centre et qu’Annabelle reprennent le
flambeau les arrangeaient. Le centre était comme une famille chacun s’y sentant
libre. Quand ils apprirent la retraite du directeur, la peur de se retrouver
confronté à un responsable sévère ou intéressé que par l’argent les épouvanta.
Seulement personne n’avait les moyens financiers pour investir dans cet établissement.
A la nouvelle du nouveau dirigeant, chaque membre du personnel fut
satisfait, l’ambiance resterait la même.
Annabelle m’expliqua qu’elle leur avait souscrit une condition. Tout
devait rester comme avant, que si une chose n’allait pas c’est à elle (comme
avant au directeur) que l’on devrait s’adresser. Ne pas la considérer comme une
élève mais comme une partie majeure du centre. Elle avait eu peur que s’ils apprenaient
que se s’était-elle, une enfant du centre, des libertés surviennent et que le
désordre s’installe.
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Annabelle a son arrivé convoqua tous le personnels pour faire le point
sur toutes les nouvelles dispositions et arrivées qui avaient eu.
Les formalités faites, elle resta seul avec Victor, elle lui raconta son
entrevue avec le directeur de la SGTM. L’enseignant fut surpris car après la discussion
qu’ils avaient eue il pensait ne plus en entendre parler.
La jeune fille lui demanda d’être son directeur adjoint. Elle avait une
totale confiance en lui, il avait toujours était là, il l’avait soutenu dans
son projet. Seul lui pouvait continuer à l’aider dans cette démarche. Victor ne
réfléchit pas longtemps, accepta la proposition immédiatement. Ils convinrent
tous les deux d’aller ensemble au rendez-vous de monsieur DURANT.
L’heure était très tard je dis au revoir à Annabelle. Je revins le
lendemain matin très tôt sentant que j’allai bientôt commencer la rédaction de
la vie d’Annabelle.
Comment se passa votre entrevue ?
Ce jour là il pleuvait des trombes d’eau, ces roues de fauteuil
glissaient, Annabelle n’arrivait pas bien à le diriger. Victor s’y essaya mais
le résultat restait idem, la jeune fille décida ce jour de s’équiper de roues
adaptées.
Annabelle m’expliqua qu’à l’hôpital ne sortant jamais ces roues étaient
adaptées pour l’intérieur et il ne lui en avait pas fournit d’autres.
Ne pouvant se servir du fauteuil et étant en retard, Victor prit une
décision radicale. Annabelle est une jeune fille svelte, pas très lourde, il
conclut qu’il la porterait. Celle-ci étant à l’ordinaire très fière, ne
désirait strictement aucune aide sur ce plan, ne renâcla pas sur sa
proposition. Elle ne voulait pas rater son rendez-vous et faire attendre ce
directeur qui était revenu sur sa décision.
Il l’a prit dans ces bras, et se dirigea vers l’ascenseur où elle appuya
elle-même sur le bouton. Celui-ci n’étant utilisait que par elle, les portes
s’ouvrirent immédiatement. En arrivant au rez-de-chaussée, ils s’avancèrent en
direction de la porte d’entrée quand il réalisa que sa voiture était garée assez
loin.
Ils décidèrent tous deux qu’Annabelle resterait dans la salle d’attente,
réservée aux parents, pendant qu’il avancerait le véhicule.
Elle m’expliqua que pendant se temps elle se mit à réfléchir et une
angoisse la saisie. Si jamais son projet n’aboutirait pas continuerait-elle de
se battre ?
Énormément de question dans se style émergèrent dans son esprit. Elle
continuait de se remettre en question quand Victor s’approcha. La voyant dans
cet état d’angoisse, qu’elle avait que très rarement, il se posa vers elle et
la réconforta. L’enseignant voulait qu’elle se ressaisisse car cette jeune
fille est une battante, déterminée, il savait qu’elle irait jusqu’au bout de
son projet.
Annabelle regarda les signes émit par son ami, il aurait pu se servir de
son boitier électronique mais celui-ci était rangé dans sa sacoche avec celui
d’Annabelle. Elle reprit confiance et effaça ses questions sans importance.
Elle réussirait coute que coute !
L’enseignant la prit dans ces bras ouvrit la porte d’un coup de genou,
Annabelle la poussant de son bras droit et ils coururent vers la voiture, où il
avait prit soin de laisser la portière droite ouverte.
Installée sur le siège avant trempé par la pluie, victor fit le tour et
démarra aussitôt le véhicule.
Après une heure de route, les deux compères arrivèrent au lieu du
rendez-vous. Monsieur DURANT les accueillir à l’entrée de son entreprise un
parapluie à la main. Annabelle lut sa surprise quand il vit Victor avec notre
jeune fille dans les bras, mais elle n’expliqua pas la raison et fit un signe
de salutation à cet homme.
Le bureau d’Alex situé au dernière étage de l’établissement était vaste,
il comportait un bureau immense, avec ordinateur, téléphone, dossiers… sur la
droite derrière un mur de séparation se trouvait un petit salon où des
fauteuils aux dossiers épais et confortables été posés en rond autour d’une
table basse.
Victor installa Annabelle sur l’un deux et prit place sur celui à côté,
le directeur se plaçant en face de notre jeune fille. Elle remarqua un dossier
en double exemplaire mis sur la table avec un stylo.
Victor ouvrit son sac et sortit les deux boités électroniques. Il donna
le sien à Annabelle et celui qui lui appartenait au directeur surprit par ce
gadget, qui demanda expressément à l’enseignant à quoi il servait et son mode
de fonctionnement.
Victor après lui avoir montré toutes les fonctions de l’appareil se
rassit et la discussion commença.
Le directeur commença à parler à Annabelle par signe quand la jeune
fille lui demanda de se servir du clavier. Elle lui expliqua qu’ainsi il
comprendrait pourquoi son désir que chaque personne muette soit équipée de
téléphone pour discuter lui soit important. Pour elle le boité fut l’origine de
son idée, puis la jeune fille lui dit que s’il n’avait pas apprit la langue des
signe comme la majorité des gens il ne pourrait communiquer aussi simplement
avec elle.
Alex acquiesça et se servit du clavier pour lui poser les premières questions
d’usage : comme comment allez vous ? Etc.
Le directeur après les formalités lui donna un exemplaire du dossier
posait sur la table basse, Victor se rapprocha d’Annabelle pour le feuilleter
avec elle. Ce dossier renfermait la maquette d’une affiche qui disait :
SMS : nouveau langage.
Ce porte document contenait très peu de feuilles, la maquette et trois
autres feuilles blanches.
Coucou passe une bonne soirée tout est ok bisous ^^
RépondreSupprimermerci du partage
RépondreSupprimerje te souhaite une bonne fin de journée
gros bisous
.•°•.Ś Ő Ń Ŷ Á.•°•.
bonne soirée, Ynomra
RépondreSupprimerc'est très interessant à lire
hello
RépondreSupprimerje te souhaite un bon mercredi
ça va bien et toi?
@ demain
bises**
Hier fut une belle journée ensoleillée, mais avec un vent très frais..!
RépondreSupprimerbonne journée
merci de nous faire partager tes beaux textes .... c'est toujours un plaisir de te lire .... quand au silence parfois il fait + de bruit que la parole!
RépondreSupprimerPasse une douce journée ici soleil revenu après a journée d'orages d'hier
bisous
Coucou Armony,
RépondreSupprimerUn plaisir de lire la suite.
Bon mercredi et à bientôt
Bisous
Coucou Ynomra, bravo belle amie !
RépondreSupprimer« Des rouges queues, ces petits volatiles qui squattent ma boite a nids » maxi bisous> à demain
bonjour je passe te faire un petit coucou bi$oux
RépondreSupprimerhello! un bien beau et bon roman!je te suis a très bientot!bises
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