bonsoir bonsoir
j'ai été contente d'avoir été sélectionné par Babelio dans masse critique pour recevoir ce livre de Anne Grauwels, une année douce.
résumé quatrième de couverture:
Bruxelles, début 2012. Une femme renoue avec son amant et rencontre un écrivain venu lui proposer de coécrire un livre sur la Belgique, ce paradis qui s'ignore. On annonce la fin du monde pour le 21 décembre. Il faut faire vite. Ecrire un livre, vivre une histoire d'amour. entre l'Amant et l’Écrivain, son cœur balance. Deux psys, une chaise pour peser le pour et le contre.
Chronique d'une année douce-amère où l'émotion se cache derrière l'humour corrosif de l'autodérision.
mon point de vue personnel:
L'auteur nous raconte une sorte de journal intime de son année 2012, fiction ou réalité? Sur le thème de : qu'est-ce-que l'amour?, avec 4 parties.
On retrouve Anne, Annette pour les intimes, une flamande, belge, juive, chroniqueuse, qui dans cette nouvelle année se retrouve confronté à trois hommes. L'Amant, L’Écrivain, L'Analyste. L'amant retrouvé après qu'il ait rompu il y a quelques années. L'Analyste(s) avant la rupture d'avec l'Amant et le nouvelle Analyste après la remise avec l'Amant. Et l’Écrivain, qui viendra l'a trouver pour lui demander l'écriture d'un livre à quatre mains sur la Belgique, en lui demandant son côté dérision du sujet.
L'Amant l'a replongera dans ses doutes et ses souvenirs qu'elle nous met à tout bout de champ, nous confrontant ces analyses avec "les psys", (au final, je n'arrivais plus à savoir si c'était l'ancien ou le nouveau psy). L’Écrivain quand à lui, l'a poussera au-delà de ces retranchements, elle se remettra en question et arrivera à se demander si ce qu'elle ressent est plus fort avec lui ou l'amant.
Le soucis de ce roman, c'est ce mélange de pensée de l'auteur, posé un peu n'importe quand pour ma part. J'ai compris que c'est un style qu'elle recherchait, mais ne pas avoir de fil conducteur dans l'histoire (ou du moins ne pas se recentrer sur l’essentiel, que je n'ai pas saisie), fait que l'on se perd assez vite. Par moment je ne savais plus si c'était des souvenirs ou le présent, et surtout ces anecdotes politiques, historiques, sexuelles et philosophiques, m'ont complètement perdu. Je ne vois pas l'intérêt de tels sujets, j'ai souvent décroché.
Heureusement le livre et les chapitre sont court, car je n'aurai pas pu lire plus. Dommage car des passages, comme celui sur Lyon, m'ont assez plu, car c'est des endroits que je connais et j'avais la sensation de les partager avec l'auteur. Elle a cette faculté par moment de nous recentré et de nous embarquer avec elle, mais aussi de nous perdre , comme elle qui se perd souvent dans ces pensées...
bonne soirée!!!!
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